Le côté vert des compétences

Tendances de l’emploi

Giovanna Benedettelli – FuturingYOU, HR Business Advisory.

Dans le paysage dynamique du travail d’aujourd’hui, le vert est plus qu’une simple tendance : c’est devenu un réel besoin. Les entreprises, de plus en plus conscientes de leur impact sur l’environnement, sont constamment à la recherche de talents à l’âme verte. Les compétences liées à l’économie d’énergie et à la durabilité environnementale sont devenues fondamentales.

Les éléments clés comprennent l’expertise en sciences et technologies de l’environnement, la sensibilisation aux défis écologiques mondiaux et la capacité à concevoir des solutions durables, combinées à une communication efficace.

Des professions telles que le génie civil, électronique et des télécommunications, la gestion de chantier, la sécurité au travail, l’énergie et la construction mécanique ne sont que quelques-uns des domaines où les compétences vertes sont particulièrement recherchées. Et ce n’est pas seulement une question de spécialistes : des personnalités telles que les plombiers et les cuisiniers connaissent également une demande croissante de compétences « vertes ».

L’importance de ces compétences est plus prononcée chez les diplômés et les diplômés techniques, mais concerne également ceux qui ont un niveau d’éducation secondaire.
Des secteurs clés tels que la construction, la mécatronique, le tourisme, la restauration et les services de soutien aux entreprises sont tous à la recherche de talents verts.

Le « Global Green Skills Report 2023 » de LinkedIn met en évidence un fait important : seul un travailleur sur huit dans le monde possède une ou plusieurs compétences dans le secteur vert. Il s’agit d’un phénomène courant pour les compétences les plus innovantes requises par le marché, où il existe souvent une grande disparité entre l’offre et la demande, malgré une augmentation de la formation de ces compétences dans la main-d’œuvre. En effet, entre 2022 et 2023, le pourcentage de travailleurs qualifiés dans le secteur vert a augmenté de 12,3 % en moyenne, mais dans le même temps, l’offre a augmenté deux fois plus vite que la demande.

Les possibilités d’emploi dans le secteur « vert » sont variées et intéressantes : des ingénieurs en environnement aux cuisiniers durables, en passant par les promoteurs de matériaux de construction écologiques et les spécialistes de la comptabilité verte, il y a de la place pour tous ceux qui veulent un avenir professionnel plus durable.

Dans le milieu universitaire, nous assistons à une transition accélérée vers une éducation durable et numérique, prête à former une nouvelle vague de professionnels de l’écologie.

Il est impératif de renforcer les systèmes éducatifs, en particulier ceux dédiés à la formation professionnelle, afin d’assurer un soutien dynamique aux travailleurs et aux entreprises. Cela implique une révision des programmes de formation existants, la mise en place de nouveaux standards d’excellence et l’adoption de mécanismes innovants pour reconnaître les compétences acquises et les nouvelles figures professionnelles en évolution.

“ La modernité a échoué. Nous devons construire un nouvel humanisme, sinon la planète ne sera pas sauvée. “
(Albert Einstein)

Le côté vert des compétences

Tendances de l’emploi

Giovanna Benedettelli – FuturingYOU, HR Business Advisory.

Dans le paysage dynamique du travail d’aujourd’hui, le vert est plus qu’une simple tendance : c’est devenu un réel besoin. Les entreprises, de plus en plus conscientes de leur impact sur l’environnement, sont constamment à la recherche de talents à l’âme verte. Les compétences liées à l’économie d’énergie et à la durabilité environnementale sont devenues fondamentales.

Les éléments clés comprennent l’expertise en sciences et technologies de l’environnement, la sensibilisation aux défis écologiques mondiaux et la capacité à concevoir des solutions durables, combinées à une communication efficace.

Des professions telles que le génie civil, électronique et des télécommunications, la gestion de chantier, la sécurité au travail, l’énergie et la construction mécanique ne sont que quelques-uns des domaines où les compétences vertes sont particulièrement recherchées. Et ce n’est pas seulement une question de spécialistes : des personnalités telles que les plombiers et les cuisiniers connaissent également une demande croissante de compétences « vertes ».

L’importance de ces compétences est plus prononcée chez les diplômés et les diplômés techniques, mais concerne également ceux qui ont un niveau d’éducation secondaire.
Des secteurs clés tels que la construction, la mécatronique, le tourisme, la restauration et les services de soutien aux entreprises sont tous à la recherche de talents verts.

Le « Global Green Skills Report 2023 » de LinkedIn met en évidence un fait important : seul un travailleur sur huit dans le monde possède une ou plusieurs compétences dans le secteur vert. Il s’agit d’un phénomène courant pour les compétences les plus innovantes requises par le marché, où il existe souvent une grande disparité entre l’offre et la demande, malgré une augmentation de la formation de ces compétences dans la main-d’œuvre. En effet, entre 2022 et 2023, le pourcentage de travailleurs qualifiés dans le secteur vert a augmenté de 12,3 % en moyenne, mais dans le même temps, l’offre a augmenté deux fois plus vite que la demande.

Les possibilités d’emploi dans le secteur « vert » sont variées et intéressantes : des ingénieurs en environnement aux cuisiniers durables, en passant par les promoteurs de matériaux de construction écologiques et les spécialistes de la comptabilité verte, il y a de la place pour tous ceux qui veulent un avenir professionnel plus durable.

Dans le milieu universitaire, nous assistons à une transition accélérée vers une éducation durable et numérique, prête à former une nouvelle vague de professionnels de l’écologie.

Il est impératif de renforcer les systèmes éducatifs, en particulier ceux dédiés à la formation professionnelle, afin d’assurer un soutien dynamique aux travailleurs et aux entreprises. Cela implique une révision des programmes de formation existants, la mise en place de nouveaux standards d’excellence et l’adoption de mécanismes innovants pour reconnaître les compétences acquises et les nouvelles figures professionnelles en évolution.

“ La modernité a échoué. Nous devons construire un nouvel humanisme, sinon la planète ne sera pas sauvée. “
(Albert Einstein)